Maria Minerva est LA nouvelle pop-modèle ayant notablement dérapé tout en s’enfonçant profondément dans nos subconscients. Originaire de Tallin, Estonie, maintenant basée à New-York, à peine 23 ans (!), Maria Minerva enfourche des modes de véritable POP académique, virale et haut-de gamme avec un délicieux sens des grosses basses, ayant enregistré de nombreux morceaux, remix et vidéo à travers les labels cultes Not Not Fun et 100% SILK.

Les images, sons et formes qu’elle conjure pendant ses concerts sont fiévreuses, mêlant diva-disco au langage non-pudique/sale, grooves pop d’Europe de l’Est, bass-culture de clubbing anglais, esthétiques de dub lo-fi et bavant californien, le tout à travers son univers sonore propre à elle. Des techno-ballades semblant exister dans une dimension narcotique parallèle, remplies de voix humides flottant de manière étrangement détachée au-dessus de boucles-beats propulsifs, de lavages de synthétiseurs-arc-en-ciels et de mélodies submergées.

En live, elle amplifie royalement la sensualité à 360 degrés de ces morceaux, assumant totalement et de manière quasi excessive son aspect/apparence de DISCO-DIVA dansante faite chair.

Pop culture brumeuse et poussée à l’excès, volutes/tourbillons libidineux, estonienne de 23 ans produisant une pop féminine kaléïdoscopique faisant tourner la tête de la blogosphère, musique de boudoir ou d’after-after-after dj set, marge-clubbing à l’esthétique low & high-fi en même temps, Maria Minerva a su conquérir un nombre impresionant d’aficionados tout autour du globe et confirme son statut de diva-pop underground en totale ascension.

De la pure techno-ballad-pop-boudoir kaléidoscopique ce soir, ici. Lascif et du pur Not Not Fun.

Plus d’infos :

http://qujunktions.com/artists/maria-minerva